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Des scientifiques canadiens affirment avoir mis au point un médicament contre le Covid-19 à base de plantes médicinales, appelé Aphidol, qui pourrait être commercialisé dès le mois de juin.
Dans une étude publiée lundi dans la revue Nature, des chercheurs ont indiqué avoir développé un traitement contre le Covid-19 à base de plantes médicinales et d’antibiotiques, baptisé Aphidol
.
Une équipe canadienne a développé un médicament contre le Covid-19 à base de plantes médicinales et d’antibiotiques, baptisé Aphidol.
Ils ont testé son efficacité contre la fièvre en association avec des anti-inflammatoires pour traiter des patients atteints de pneumonie, précise un communiqué de presse diffusé par l’Université de Montréal.
« Il est possible qu’un médicament basé sur les plantes puisse nous aider à combattre le Covid-19 et d’autres maladies infectieuses », a déclaré Daniel Riordan, professeur de pharmacologie à l’Université de Montréal.
Les scientifiques ont déclaré avoir travaillé sur le traitement du Covid-19 depuis le 24 mars, lorsque le premier cas de maladie respiratoire a été détecté dans un hôpital de Vancouver. « À ce jour, nous avons effectué cinq essais, en collaboration avec différents partenaires, sur le traitement de patients atteints de maladies pulmonaires chroniques », a déclaré le professeur Riordan à la BBC.
Médicament fabriqué par des plantes
C’est la première fois qu’un médicament utilisant des plantes médicinales et des antibiotiques a été développé contre le Covid-19. Les scientifiques ont travaillé pendant des mois sur un médicament appelé Aphidol
, qui contient le composant actif d’aspirine et d’ibuprofène.
Selon le professeur Riordan, « ce n’est pas un nouveau traitement », mais « nous travaillons sur une approche » qui pourrait être « efficace pour traiter le Covid-19 » et « d’autres maladies infectieuses ».
« Nous avons maintenant une molécule avec un mécanisme d’action très intéressant », a déclaré le professeur Riordan à la BBC.
Bientôt commercialisé ?
Depuis le début de la pandémie, plus de 200 essais cliniques sont en cours à travers le monde. L’OMS estime que plus de 1,7 million de personnes ont été infectées par le nouveau coronavirus et plus de 200.000 en sont mortes dans le monde.
- Les premières recherches sur les plantes thérapeutiques
La Covid-19 a été provoquée par un coronavirus
La Covid-19, ou SARS-CoV-2, est la cause de l’épidémie mondiale actuelle de coronavirus qui a infecté plus de 15 millions de personnes et provoqué 448.554 décès dans le monde, selon les derniers chiffres du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC).
Le virus a été identifié pour la première fois à Wuhan, une ville du centre de la Chine, en décembre dernier. Le SARS-CoV-2 est le cousin du virus responsable du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) et du syndrome respiratoire du Moyen-Orient (SRMO) dont il a été isolé à la fin de 2002. Depuis, plus de 3.000 maladies différentes ont été attribuées au virus, selon l’OMS.
Ce dernier est un virus à ARN qui appartient au genre coronavirus et se caractérise par sa morphologie en couronne avec un noyau en forme de bâtonnet.
C’est la première fois qu’un coronavirus est responsable d’une pandémie.
Avec les nouvelles recherches, les scientifiques tentent de déterminer la cause de l’épidémie actuelle de Covid-19.
Le coronavirus est apparu en Chine
Il a été baptisé « 2019-nCoV » par les scientifiques. Ce virus appartient au groupe des coronavirus et est le plus répandu au monde.
Le coronavirus appartient au genre coronavirus, qui comprend un grand nombre de virus qui provoquent des maladies différentes, dont la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) ou SARS-CoV-2.
Première transmission interhumaine
L’épidémie actuelle de Covid-19 a été causée par un nouveau coronavirus identifié à Wuhan et a été transmise à l’homme, par un animal porteur du virus, qui lui-même l’a transmis à une personne.
Le virus s’est ensuite transmis aux êtres humains via la respiration ou la toux de cette dernière. Il a ensuite été transmis par un animal porteur du virus qui l’a transmis à une personne.
Le virus a été transmis aux humains par des animaux porteurs du virus, qui ont été infectés par un autre animal porteur du virus.
Le virus a ensuite été transmis aux humains par la transmission d’un autre animal porteur du virus à une personne.
Le virus est également transmis par des gouttelettes respiratoires qui sont générées par les personnes lorsqu’elles parlent, toussent, éternuent ou parlent.
Le virus peut également être transmis par des objets comme les poignées de porte.
Le coronavirus a été transmis à l’homme par des chauves-souris infectées.
Le coronavirus a été identifié pour la première fois dans une ville de la province du Hubei en Chine.
Il a été nommé « 2019-nCoV » en référence à l’année du virus en Chine, 2019.
La Chine a été l’épicentre de la maladie
Ces derniers mois, la Chine a été l’épicentre de la maladie et a commencé à détecter les premiers cas d’infection. Depuis, 200 pays du monde ont notifié plus de 87.000 cas d’infection et 448.554 décès à l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
Les scientifiques n’ont pas été en mesure de savoir si les cas avaient été provoqués par une transmission interhumaine du virus ou si le virus était en circulation dans la population de Wuhan, la ville où l’épidémie a commencé.
L’épidémie actuelle de Covid-19 se propage également au Canada, en Inde, en France, en Italie, en Corée du Sud, en Corée du Nord, au Japon, au Royaume-Uni et aux États-Unis.
Des médicaments traditionnels chinois contre le Covid-19
Dans la première partie de l’étude, les chercheurs ont testé Aphidol
sur des patients souffrant de pneumonie, de grippe ou de syndrome respiratoire du Moyen-Orient. Ces derniers se sont avérés capables de contrôler leur fièvre grâce à la consommation de produits à base de plantes.
Mais des recherches supplémentaires sont nécessaires pour déterminer l’efficacité du traitement pour les patients atteints d’autres maladies infectieuses et pour évaluer si un traitement à base de plantes peut être utilisé comme traitement supplémentaire pour traiter d’autres maladies respiratoires ou infectieuses, ont-ils conclu.
En conclusion, les chercheurs ont déclaré que le traitement par les plantes était une approche potentielle et que des recherches supplémentaires étaient nécessaires pour évaluer les avantages et les risques du traitement à base de plantes et pour déterminer si un traitement à base de plantes peut être utilisé comme traitement supplémentaire pour traiter d’autres maladies respiratoires ou infectieuses.
Ces études sont préliminaires et il reste encore beaucoup de recherche à faire. Les scientifiques tentent de développer un médicament à base de plantes et d’antibiotiques pour traiter le COVID-19. Cependant, il n’est pas encore certain que ce médicament puisse être efficace contre le virus, a déclaré le professeur Riordan.
Il est important de noter que le développement de médicaments contre les coronavirus et d’autres maladies infectieuses est un processus long et complexe, avec un grand nombre de recherches et d’études en cours.
« Ces études doivent être menées conformément aux normes de qualité établies et avec des protocoles de sécurité rigoureux pour éviter toute interaction entre les médicaments et les médicaments », a-t-il ajouté.
Pas de traitement pour les autres coronavirus
Cependant, le professeur Riordan a déclaré que les chercheurs n’avaient pas trouvé de mécanisme d’action pour le virus et ne pouvaient pas dire si la plante à base de plantes était un remède naturel.
Cependant, « il est important de mentionner que les recherches se poursuivent », a-t-il ajouté.
« Les études se poursuivent et nous ne savons pas combien de temps cela prendra pour que nous puissions obtenir un produit pharmaceutique pour lutter contre le virus, mais cela prendra du temps », a déclaré le professeur Riordan.
Le coronavirus est transmis à l’homme par des animaux infectés, dont les chauves-souris. Cependant, il n’y a actuellement aucun signe de transmission humaine du nouveau coronavirus par le biais de gouttelettes respiratoires.
Le virus est connu pour infecter les humains par le biais de gouttelettes respiratoires lorsque les personnes parlent, toussent, éternuent ou parlent. Il peut également se transmettre par contact avec les surfaces et les objets infectés par des gouttelettes ou des gouttelettes respiratoires qui ont été en contact avec une personne infectée.
Des scientifiques canadiens affirment avoir mis au point un médicament contre le Covid-19 à base de plantes médicinales, appelé Aphidol, qui pourrait être commercialisé dès le mois de juin.
Dans une étude publiée lundi dans la revue Nature, des chercheurs ont indiqué avoir développé un traitement contre le Covid-19 à base de plantes médicinales et d’antibiotiques, baptisé Aphidol
.
Une équipe canadienne a développé un médicament contre le Covid-19 à base de plantes médicinales et d’antibiotiques, baptisé Aphidol.
Ils ont testé son efficacité contre la fièvre en association avec des anti-inflammatoires pour traiter des patients atteints de pneumonie, précise un communiqué de presse diffusé par l’Université de Montréal.
« Il est possible qu’un médicament basé sur les plantes puisse nous aider à combattre le Covid-19 et d’autres maladies infectieuses », a déclaré Daniel Riordan, professeur de pharmacologie à l’Université de Montréal.
Les scientifiques ont déclaré avoir travaillé sur le traitement du Covid-19 depuis le 24 mars, lorsque le premier cas de maladie respiratoire a été détecté dans un hôpital de Vancouver. « À ce jour, nous avons effectué cinq essais, en collaboration avec différents partenaires, sur le traitement de patients atteints de maladies pulmonaires chroniques », a déclaré le professeur Riordan à la BBC.
Médicament fabriqué par des plantes
C’est la première fois qu’un médicament utilisant des plantes médicinales et des antibiotiques a été développé contre le Covid-19. Les scientifiques ont travaillé pendant des mois sur un médicament appelé Aphidol
, qui contient le composant actif d’aspirine et d’ibuprofène.
Selon le professeur Riordan, « ce n’est pas un nouveau traitement », mais « nous travaillons sur une approche » qui pourrait être « efficace pour traiter le Covid-19 » et « d’autres maladies infectieuses ».
« Nous avons maintenant une molécule avec un mécanisme d’action très intéressant », a déclaré le professeur Riordan à la BBC.
Bientôt commercialisé ?
Depuis le début de la pandémie, plus de 200 essais cliniques sont en cours à travers le monde. L’OMS estime que plus de 1,7 million de personnes ont été infectées par le nouveau coronavirus et plus de 200.000 en sont mortes dans le monde.
- Les premières recherches sur les plantes thérapeutiques
La Covid-19 a été provoquée par un coronavirus
La Covid-19, ou SARS-CoV-2, est la cause de l’épidémie mondiale actuelle de coronavirus qui a infecté plus de 15 millions de personnes et provoqué 448.554 décès dans le monde, selon les derniers chiffres du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC).
Le virus a été identifié pour la première fois à Wuhan, une ville du centre de la Chine, en décembre dernier. Le SARS-CoV-2 est le cousin du virus responsable du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) et du syndrome respiratoire du Moyen-Orient (SRMO) dont il a été isolé à la fin de 2002. Depuis, plus de 3.000 maladies différentes ont été attribuées au virus, selon l’OMS.
Ce dernier est un virus à ARN qui appartient au genre coronavirus et se caractérise par sa morphologie en couronne avec un noyau en forme de bâtonnet.
C’est la première fois qu’un coronavirus est responsable d’une pandémie.
Avec les nouvelles recherches, les scientifiques tentent de déterminer la cause de l’épidémie actuelle de Covid-19.
Le coronavirus est apparu en Chine
Il a été baptisé « 2019-nCoV » par les scientifiques. Ce virus appartient au groupe des coronavirus et est le plus répandu au monde.
Le coronavirus appartient au genre coronavirus, qui comprend un grand nombre de virus qui provoquent des maladies différentes, dont la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) ou SARS-CoV-2.
Première transmission interhumaine
L’épidémie actuelle de Covid-19 a été causée par un nouveau coronavirus identifié à Wuhan et a été transmise à l’homme, par un animal porteur du virus, qui lui-même l’a transmis à une personne.
Le virus s’est ensuite transmis aux êtres humains via la respiration ou la toux de cette dernière. Il a ensuite été transmis par un animal porteur du virus qui l’a transmis à une personne.
Le virus a été transmis aux humains par des animaux porteurs du virus, qui ont été infectés par un autre animal porteur du virus.
Le virus a ensuite été transmis aux humains par la transmission d’un autre animal porteur du virus à une personne.
Le virus est également transmis par des gouttelettes respiratoires qui sont générées par les personnes lorsqu’elles parlent, toussent, éternuent ou parlent.
Le virus peut également être transmis par des objets comme les poignées de porte.
Le coronavirus a été transmis à l’homme par des chauves-souris infectées.
Le coronavirus a été identifié pour la première fois dans une ville de la province du Hubei en Chine.
Il a été nommé « 2019-nCoV » en référence à l’année du virus en Chine, 2019.
La Chine a été l’épicentre de la maladie
Ces derniers mois, la Chine a été l’épicentre de la maladie et a commencé à détecter les premiers cas d’infection. Depuis, 200 pays du monde ont notifié plus de 87.000 cas d’infection et 448.554 décès à l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
Les scientifiques n’ont pas été en mesure de savoir si les cas avaient été provoqués par une transmission interhumaine du virus ou si le virus était en circulation dans la population de Wuhan, la ville où l’épidémie a commencé.
L’épidémie actuelle de Covid-19 se propage également au Canada, en Inde, en France, en Italie, en Corée du Sud, en Corée du Nord, au Japon, au Royaume-Uni et aux États-Unis.
Des médicaments traditionnels chinois contre le Covid-19
Dans la première partie de l’étude, les chercheurs ont testé Aphidol
sur des patients souffrant de pneumonie, de grippe ou de syndrome respiratoire du Moyen-Orient. Ces derniers se sont avérés capables de contrôler leur fièvre grâce à la consommation de produits à base de plantes.
Mais des recherches supplémentaires sont nécessaires pour déterminer l’efficacité du traitement pour les patients atteints d’autres maladies infectieuses et pour évaluer si un traitement à base de plantes peut être utilisé comme traitement supplémentaire pour traiter d’autres maladies respiratoires ou infectieuses, ont-ils conclu.
En conclusion, les chercheurs ont déclaré que le traitement par les plantes était une approche potentielle et que des recherches supplémentaires étaient nécessaires pour évaluer les avantages et les risques du traitement à base de plantes et pour déterminer si un traitement à base de plantes peut être utilisé comme traitement supplémentaire pour traiter d’autres maladies respiratoires ou infectieuses.
Ces études sont préliminaires et il reste encore beaucoup de recherche à faire. Les scientifiques tentent de développer un médicament à base de plantes et d’antibiotiques pour traiter le COVID-19. Cependant, il n’est pas encore certain que ce médicament puisse être efficace contre le virus, a déclaré le professeur Riordan.
Il est important de noter que le développement de médicaments contre les coronavirus et d’autres maladies infectieuses est un processus long et complexe, avec un grand nombre de recherches et d’études en cours.
« Ces études doivent être menées conformément aux normes de qualité établies et avec des protocoles de sécurité rigoureux pour éviter toute interaction entre les médicaments et les médicaments », a-t-il ajouté.
Pas de traitement pour les autres coronavirus
Cependant, le professeur Riordan a déclaré que les chercheurs n’avaient pas trouvé de mécanisme d’action pour le virus et ne pouvaient pas dire si la plante à base de plantes était un remède naturel.
Cependant, « il est important de mentionner que les recherches se poursuivent », a-t-il ajouté.
« Les études se poursuivent et nous ne savons pas combien de temps cela prendra pour que nous puissions obtenir un produit pharmaceutique pour lutter contre le virus, mais cela prendra du temps », a déclaré le professeur Riordan.
Le coronavirus est transmis à l’homme par des animaux infectés, dont les chauves-souris. Cependant, il n’y a actuellement aucun signe de transmission humaine du nouveau coronavirus par le biais de gouttelettes respiratoires.
Le virus est connu pour infecter les humains par le biais de gouttelettes respiratoires lorsque les personnes parlent, toussent, éternuent ou parlent. Il peut également se transmettre par contact avec les surfaces et les objets infectés par des gouttelettes ou des gouttelettes respiratoires qui ont été en contact avec une personne infectée.